République du Mali : Un Peuple, Un But, Une Foi

République du Mali : Un Peuple, Un But, Une Foi

République du Mali Un Peuple, Un But, Une Foi Lettre ouverte de l'association Faso Kanu à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République française. Objet : Réplique à votre déclaration lors d’une conférence de presse, à l’issue du sommet de l’Otan, à Watford,...

UN SALAIRE EST UN POT DE VIN POUR OUBLIER SON AMBITION.

UN SALAIRE EST UN POT DE VIN POUR OUBLIER SON AMBITION. ( Dr Aubrey Roberts) La recherche a montré que les groupes les plus pauvres dans le monde sont les salariés ,  à côté des mendiants. Ils vivent dans un cercle vicieux de la pauvreté, géré sur 30 jours. Le salaire...

LA SPIRITUALITÉ AFRICAINE COMME BASE DE NOTRE INDUSTRIE

LA SPIRITUALITÉ AFRICAINE COMME BASE DE NOTRE INDUSTRIE

  LA SPIRITUALITÉ AFRICAINE COMME BASE DE NOTRE INDUSTRIE Leçon de Désintoxication religieuse créationniste, publiée il y a 3 ans, le 23 avril 2016 Si j'avais été créationniste (chrétien ou musulman), je n'aurais jamais mis sur pied une telle formation pour...

Thomas Sankara

Thomas Sankara

Thomas Sankara « La faute est à ceux qui exploitent l’Afrique. La faute est aussi aux Africains qui ne s’unissent pas pour prendre leur place. L’esclave mérite ses chaînes. L’esclave qui ne lutte pas, qui ne prends pas d’engagement, ne peut pas se débarrasser de ses...

Ensemble pour la libéralisation du Président Laurent Gbagbo

UN GRAND HOMME AFRICAIN

… Il faut faire son travail, il faut avoir foi à ce qu’on fait. Moi j’ai une foi en l’Afrique. C’est tout. Et je fais ce qui me semble bon pour l’Afrique, C’est ça que je fais. Le reste, ce n’est pas important. Je dis souvent à mes collaborateurs que celui qui veut être riche, il ne faut pas qu’il vienne faire la politique. Si quelque fait la politique et devient riche, c’est qu’il est voleur. La politique n’est pas là pour enrichir les gens. En politique, on te donne les moyens pour que tu vives correctement. Il y a un travail à faire. Celui qui veut être riche, il fait les affaires. Il ne devient pas professeur, il ne devient pas journaliste, il ne devient pas cameraman, il ne devient homme politique. Ce n’est pas le métier où on devient riche. Ça c’est la première leçon.

La deuxième leçon, c’est que tu peux partir de zéro et tu peux arriver au sommet ; pourvu que tu saches dès le départ où tu veux aller. Et que tu prennes les moyens pour y arriver.

Je me rappelle toujours d’une discussion que j’ai eue avec mes amis au Lycée Classique. On était un nombre qui voulait devenir Président. Chacun dit qu’il va devenir Président. Il y’en a un qui m’a dit : « moi, je vais d’abord fait des affaires parce que sans argent on ne peut pas faire la politique, on ne peut pas devenir président ». Et je lui ai dit : Moi, c’est parce que je ne vais pas faire des affaires que je vais être pauvre, que je vais avoir la main propre et que je vais devenir Président. Aujourd’hui, mon ami là a beaucoup d’argent effectivement, mais il n’est jamais devenu Président. Il n’a jamais été candidat. C’est-à-dire qu’il faut savoir ce que tu veux longtemps à l’avance. Il ne faut pas découvrir les situations de façon opportuniste. Il faut savoir ce que tu veux être, ce que tu veux faire et tu te traces ta ligne de conduite dans tout ce que tu fais dans la vie.

Moi j’ai fait l’histoire pour devenir Président.   Sinon la bourse qu’on m’a donnée pour aller en France, c’était pour faire professeur de Latin et Grec. Quand j’ai commencé vraiment à militer, je me suis rendu compte qu’il me manquait l’histoire de l’Afrique pour poursuivre ma route. J’ai changé et j’ai fait l’histoire parce que c’est ça qui me manquait pour connaitre d’où on vient et où on peut aller en connaissant d’où on vient.

Je vois des gens qui découvrent qu’il y a un fauteuil à côte et veulent s’asseoir là-dessus. On ne s’assoit pas dessus comme ça ! le fauteuil, qui est à coté, il semble vide mais il a un propriétaire. Il a un propriétaire… C’est quand tu veux t’asseoir dessus que tu te rends compte qu’il a un propriétaire. Et il faut savoir que le propriétaire du fauteuil présidentiel c’est le peuple.  Il faut toujours savoir ça, que c’est le peuple. Tu as beau être ce que tu es, si tu ne sais pas que c’est le peuple et que tu ne te conduis pas en conséquent tu ne peux pas t’asseoir dessus. Il faut aimer son pays, il faut aimer l’Afrique.

UN VRAI PANAFRICANISTE 

L’Afrique est une terre qui a tellement subi de preuves. Je ne pense pas que dans le monde il y’a des gens qui ont subi de tant de preuves que nous. Les juifs aussi ont subi beaucoup de preuves mais nous les noirs africains, tout le monde s’est harcelé sur nous ; esclave, esclave de maison, esclave de la traite négrière, colonisé, torture culturellement, parlant les langues des autres, décolonisé… on a de grands combats à mener. Et les grands combats que nous avons à mener c’est pas pour se venger des gens, c’est pour au moins être Homme aussi comme les gens. C’est ça qu’on appelle la dignité. Quand tu passes, il faut qu’on sache que c’est un homme qui passe. C’est tout ce que nous voulons. On ne cherche pas à dominer ceux qui nous ont dominés hier, à nous venger… on veut qu’on reconnaisse que nous sommes des hommes au même titre que les autres. Mais si nous-mêmes on ne prend pas des moyens, on est toujours chez eux entrain de mendier. Et que les gens là, tu vas mettre de l’argent chez eux en train d’acheter les bâtiments, ils te dénoncent que voilà un voleur. Comment, je vous amène de l’argent et vous me dénoncez ? je ne vous amènerai rien ! Moi quand je vois les chefs d’états africains qui sont dénoncés en Europe parce qu’ils ont investi en Europe, ça me fait pitié pour l’Afrique. Or il ne faut pas fait pitié. Quand tu passes, il faut qu’on dise que voilà un homme qui passe, C’est tout ce que nous cherchons aujourd’hui. C’est notre combat. Moi qui suis ici, je ne passe pas les vacances en Europe, est-ce que je ne suis pas Président ? Je suis Président. Si je mets mon pied sur un sol européen c’est qu’il y’a une réunion à laquelle je dois participer pour que la Côte d’Ivoire gagne quelque chose, sinon, je cherche quoi chez les autres. Si Dieu m’a mis au monde ici c’est que dans mon environnement ici, il y’a tout ce qu’il faut pour que je vive.

Mon combat, c’est pour la dignité, c’est pour que nous effacions toutes les traces passées : les traces de l’esclavage, les traces de la colonisation, les traces du pillage, les traces du travail force, les traces de la chicotte… Demain les jeunes puissent savoir les combats que nous avons menés.

Source: youtube.com/watch  

Please Donate
and Help
the People of Togo!

PENSÉE DU JOUR

«Le bonheur n’est pas quelque chose que tu planifies pour le futur, c’es quelque chose que tu conçois pour le présent»

PRIÈRE DU JOUR

Ce qui est dans la bonne terre, ce sont tous ceux qui, après avoir entendu la Parole, la retiennent dans un cœur honnête et bon, et portent du fruit avec patience.
Luc 8. 15

RIONS UN PEU

Un jour Mobutu était parti rendre visite à Jacques Chirac, arrivé à la porte il tape et Chirac demande c’est qui?

Il répond: c’est Mobutu Sésé Séko Kuku Wengo Waza Banga.

Chirac répond : Mes frères s’il vous plaît, entrez un à un.

Subscribe

Loading

Afrique Notre Afrique

Nelson Mandela

C’est à 25 ans que Nelson Mandela a rejoint les rangs du Congrès national africain (ANC), un parti qui défendait les intérêts de la majorité noire contre la minorité blanche. Son zèle et sa détermination dans la lutte le feront condamner à la réclusion à perpétuité en 1964 pour sédition et échappe de peu à la peine de mort. En prison, Mandela aura fait en tout et pour tout 27 ans. Il a effectué des travaux forcés à longueur de journée, dans une carrière de chaux, où il casse des cailloux. Exposé au soleil et à la poussière pendant des années, Mandela y voit sa santé se détériorer. En prison où les lois de la ségrégation sont appliquées, Mandela continue la résistance et cherche à pénétrer l’âme de ses ennemis afrikaners, étudiant leur histoire et leur langue, dans le but d’établir un dialogue avec eux.

 

Patrice Lumumba

L’ancien Premier Ministre congolais a marqué l’histoire de l’Afrique de par son engagement en faveur du peuple congolais qu’il voulait délivrer complètement de la domination des blancs. De plus, son engagement en faveur du panafricanisme n’est pas à négliger. En 1958, Partice Lumumba participe à la conférence panafricaine d’Accra au Ghana, où il a rencontré Nkrumah. Cette rencontre donne du tonus aux idées panafricanistes du congolais qui fraternise avec des pionniers du panafricanisme  comme Nasser, Nkrumah et Sékou Touré qui voulaient la liberté totale de l’Afrique.

Patrice Emery Lumumba, premier Premier ministre de la RDCongo, héros national.

On retient de la lutte politique et de la lutte pour l’indépendance de Patrice Lumumba, du charisme au Congo et sur tout le continent. L’homme a été de tous les combats pour l’indépendance de son pays pour avoir fait plusieurs fois la prison. Son idéologie de lutte a été basée sur la non-violence, le courage, la détermination et la justice sociale. Patrice Lumumba était contre toute présence des puissances occidentales qui pillent les richesses des pays africains et ce jusqu’à ce jour. Il déclarait : « Les puissances qui nous combattent ou qui combattent mon gouvernement, sous le prétexte fallacieux d’anticommunisme, cachent en réalité leurs véritables intentions. Ces puissances européennes ne veulent avoir de sympathies que pour des dirigeants africains qui sont à leur remorque et qui trompent leur peuple. Certaines de ces puissances ne conçoivent leur présence au Congo ou en Afrique que dans la mesure où ils savent exploiter au maximum leurs richesses par le truchement quelques dirigeants corrompus ».

 

Thomas Sankara

L’ancien Président Burkinabè est un anti-impérialiste, panafricaniste et tiers-mondiste burkinabè. Dès son arrivée au pouvoir, il change de nom à son pays qui s’appelait à l’époque la Haute-Volta. Au pouvoir en 1984, Thomas Sankara conduit une politique d’affranchissement du peuple burkinabè. Son gouvernement entreprend des réformes majeures pour combattre la corruption et améliorer l’éducation, l’agriculture et le statut des femmes.

 

Thomas Sankara était en premier lieu un des chefs du Mouvement des non-alignés, les pays qui durant la Guerre froide ont refusé de prendre parti pour l’un ou l’autre des deux blocs. Thomas était contre le colonialisme et le néo-colonialisme des pays occidentaux et particulièrement de la France en Afrique. Il est l’un des meneurs de la dernière révolution de l’« Afrique progressiste », opposée à l’« Afrique modérée ». Il est considéré par certains comme le Che Guevara africain. Et comme la France n’aime pas avoir la honte, son assassinat sera commandité par un coup d’État qui amène au pouvoir Blaise Compaoré, le 15 octobre 1987.

 

Cheik Anta Diop

Cheikh Anta Diop est un historien, anthropologue et homme politique sénégalais. Il a mis l’accent sur l’apport de l’Afrique et en particulier de l’Afrique noire à la culture et à la civilisation mondiales. Si une grande partie de ses thèses, en particulier au sujet de l’Égypte antique, sont considérées comme dépourvues de fondements solides, Cheikh Anta Dio p a toutefois eu un indéniable rôle de visionnaire en ce qui concerne la place de l’Afrique dans l’histoire. Auteur de « Nations nègres et culture » considéré comme un texte majeur dans la renaissance du monde noir. A travers ses ouvrages, il réinvente, au coeur des luttes de l’après Seconde Guerre mondiale, l’antiquité négro-pharaonique à la suite du jamaïcain Edward Wilmot Blyden et de Marcus Garvey. Il est considéré comme le restaurateur de la conscience noir dans l’histoire mondiale.  Dans un contexte de marginalisation accélérée du continent, ses travaux, qui marquèrent le retour de la conscience historique de l’Afrique, appellent à la permanence du combat contre les racismes sous toutes leurs formes.

 

Kwame N’krumah, le promoteur des Etats-Unis d’Afrique

Ce grand homme africain est un indépendantiste et panafricaniste ghanéen. Kwamé N’Krumah qui a mené une haute lutte avec le colonisateur anglais pour mener son pays à l’Indépendance. M. N’Krumah a dirigé le Ghana indépendant en tant que Premier ministre de 1957 à 1960, puis en tant que président de 1960 à 1966 avant sa destitution par un coup d’Etat.

L’ancien président ghanéen est l’un des pionniers du panafricanisme. Déjà en 1945, il participe à l’organisation du Congrès panafricain. Dans sa gestion du Ghana en tant que Premier ministre il avait adopté une politique d’« Africanisation de l’administration, de panafricanisme et d’anticommunisme », il décide de développer les infrastructures de son pays grâce aux excédents de l’Office de commercialisation du cacao. Le jour même de l’indépendance, le 6 mars 1957, il décide d’abandonner le nom colonial du pays au profit de l’actuel, en hommage à l’Empire du Ghana.

Au niveau du continent, il a revendiqué l’indépendance immédiate de l’Afrique et a prôné la formation d’une identité supranationale : les « États-Unis d’Afrique » qui permettrait au continent de devenir l’une des plus grandes forces du monde. En mars 1963, il participe activement à la rédaction de la charte de l’Organisation de l’unité africaine, même si son idée de créer un gouvernement central africain n’est pas retenue. Des années après sa mort, ses idées de panafricanisme sont encore évoquées et l’homme est toujours présent dans l’histoire africaine malgré les dérives autocratiques de son pouvoir qui ont conduit à sa chute ?

 

Notre Chère Afrique

Notre Chère Afrique

Mouammar Kadhafi, le Guide libyen

Mohammed Kadhafi est l’un des hommes qui ont marqué l’Afrique de par leur détermination pour la liberté de l’homme noir. Mais pendant longtemps, il a été présenté comme un dictateur parce qu’il ne donnait pas la parole à son peuple, qui vivait vraiment bien. Avec Mouammar Kadhafi, il était difficile pour les occidentaux de piller les richesses du peuple libyen. Pour se faire, la campagne occidentale contre son régime était telle que les africains avaient une mauvaise idée de l’homme qu’on a trouvé mauvais pour son peuple. On avait tout faux parce qu’en Libye, il n’y a pas eu pauvreté chronique comme ce qui se passe actuellement dans plusieurs pays au Sud du Sahara malgré l’absence de la démocratie dans le pays.  Sur le plan continental, le guide libyen a toujours milité pour le panafricanisme et le panarabisme. Mais malheureusement, après avoir fait du bien à certains leaders occidentaux, il sera confronté à une révolution armée de son peuple, manipulé par les occidentaux qui voulaient avoir main basse sur le pétrole libyen. Son pays sera bombardé et il sera assassiné, au nom d’une certaine liberté, sur ordre des occidentaux. Kadhafi comme tous les autres grands hommes qui ont marqué l’histoire était le promoteur de l’Unité africaine.

 

Gamal Abdel Nasser

Grand Nationaliste et Panafricaniste qui s’est toujours battu pour le mouvement des non alignés durant la guerre froide. C’est grâce à lui que l’Egypte pouvait prétendre à un semblant d’une totale indépendance. La neutralité de l’Égypte durant la Guerre froide causa des tensions avec les puissances occidentales qui refusèrent de financer la construction du barrage d’Assouan. Nasser répliqua en nationalisant la compagnie du canal de Suez en 1956. Il s’est illustré sur le continent africain avec sa participation au sommet de panafricanisme organisé par Kwame Nkrumah à Accra. Dans sa logique du panafricanisme, il va prendre la famille de Patrice Lumumba, le héros congolais et élever ses enfants.

 

 

Léopold Sédar Senghor

Il est un grand poète, écrivain, homme politique sénégalais et premier président de la République du Sénégal. Il approfondit le concept de négritude, notion introduite par Aimé Césaire et créa le Mouvement de la Négritude. Senghor est un fervent défenseur du fédéralisme pour les États africains nouvellement indépendants. Premier président de la République du Sénégal, il est l’auteur de l’hymne national sénégalais, le Lion rouge. Il a géré le Sénégal avec sa notion de démocratie acquise en France de par les postes ministériels occupés avant son retour au Sénégal. Il a défendu un socialisme africain qui doit voir le jour après avoir réussi la décolonisation sans violence et de parvenir à une « décolonisation culturelle et économique » en contestant le système impérialiste qui pèse sur les pays producteurs. Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs.

 

Sylvanus OLYMPIO le 13 janvier 1963 au Togo

Le 27 avril 1960, le Togo, sous la direction de Sylvanus Olympio, proclama son indépendance après la tutelle française qui a suivi la colonisation allemande. Deux ans plus tôt, les populations du territoire du Togo avaient voté pour l’affranchissement de cette tutelle après une série de tentatives d’étouffement et de trucages électoraux opérés par l’administration française qui ne voyait pas du tout d’un oeil favorable les démarches émancipatrices du peuple du Togo. Pour retarder les choses ou les bloquer, la France avait estimé que le Togo lui devait 800 millions de francs, ce qui, selon les autorités françaises, équivalait aux dépenses que la tutelle aurait coûté. M. Olympio en homme avisé, comprit très tôt qu’un pays qui se proclame indépendant tout en étant “endetté” ne saurait être libre. Ainsi, consacrait-il deux ans avec l’effort du peuple à travailler pour payer ces 800 million de francs et pour doter le pays de quelques infrastructures à la mesure de l’évènement à célébrer en 1960.

Mais la France n’entendait pas laisser faire. Le général De Gaulle au pouvoir dans ces années-là considérait que l’indépendance de ses territoires d’Afrique doit se faire dans le cadre qu’il aura défini. Et ce cadre doit garantir ses divers intérêts coloniaux. Cette vision des choses heurtait les convictions du peuple, de M. Olympio et ses amis pour qui l’indépendance du Togo devrait se caractériser par :

- une vision sociétale qui met les citoyens du Togo au centre de toutes les préoccupations et non les intérêts occidentaux.
- la rupture avec le franc CFA (Franc des colonies françaises d’Afrique) et une autonomie de battre monnaie.
- la construction d’infrastructures pour rendre viable l’économie togolaise notamment un port autonome à Lomé. . la révision des contrats miniers notamment celui sur le phosphate que la France exploitait gratuitement depuis de longues années déjà.
- l’absence de coopération militaire avec la France car le Togo entendait construire une armée faite uniquement de gendarmerie et de police.
- le développement accéléré des secteurs clés à savoir : l’agriculture pour nourrir les populations, la santé et l’éducation.

Source : http://lajuda.blogspot.com